Une mémoire
Il y a des vieux morceaux de papiers pliés en huit. Quelques photos éparpillés. Des vieux textes imprimés. Mes premières ébauches sur ce carnet, afficher à mon écran. Des moments en tête.
Un doux silence règne sur la pièce. Le son de mes doigts sur le claviers remplissent quelques courts instants de vide. Il y a dans ma tête tout plein d'images, de sons. Et surtout des émotions. Du beau. Du beau que je ne vous écrirai pas, du beau qui reste à moi. Du beau qui se trouve dans mes textes si vous savez lire en arrière des lignes.
Le laid, je n'en veux pas. Il reste loin et distant dans mes souvenirs. Il existe mais paraît si banal maintenant. Somme toute, il reste le souvenir d'espoirs, oubliés, aussi éphémères que mes histoires. Des beaux moments dont les suites m'importent peu maintenant. Des beaux moments pour me rappeller que mon estime n'est pas à rebâtir. Mon estime n'est qu'un constat à refaire. Et il faut que je le refasse. Tranquillement.
Pour l'avenir, j'en sais trop rien. Je laisse couler, comme mes doigts sur le clavier, comme les idées dans mon esprit, comme les émotions dans l'abîme ma mémoire.
Je suis épuisé. Je prends une pose, un moment, un instant, pour moi et mon passé. Je prends le temps de m'aimer un peu.
Un doux silence règne sur la pièce. Le son de mes doigts sur le claviers remplissent quelques courts instants de vide. Il y a dans ma tête tout plein d'images, de sons. Et surtout des émotions. Du beau. Du beau que je ne vous écrirai pas, du beau qui reste à moi. Du beau qui se trouve dans mes textes si vous savez lire en arrière des lignes.
Le laid, je n'en veux pas. Il reste loin et distant dans mes souvenirs. Il existe mais paraît si banal maintenant. Somme toute, il reste le souvenir d'espoirs, oubliés, aussi éphémères que mes histoires. Des beaux moments dont les suites m'importent peu maintenant. Des beaux moments pour me rappeller que mon estime n'est pas à rebâtir. Mon estime n'est qu'un constat à refaire. Et il faut que je le refasse. Tranquillement.
Pour l'avenir, j'en sais trop rien. Je laisse couler, comme mes doigts sur le clavier, comme les idées dans mon esprit, comme les émotions dans l'abîme ma mémoire.
Je suis épuisé. Je prends une pose, un moment, un instant, pour moi et mon passé. Je prends le temps de m'aimer un peu.
Un billet signé Nicolas
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Prends le temps de te reposer, Nicolas. On a tous besoin d'une pause en dehors de la réalité sévère. C'est ton tour.
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