Instinct
Maudit instinct.
Une série d'évènements, plus ou moins banale, plus ou moins extraordinaire, et je me retrouve, un après-midi d'automne, dans une petite rue à Montréal. C'est un bel automne, vraiment, il y a des feuilles rouges et jaunes partout dans la rue, et il y a cette odeur automniale, fraîche, vivante. Je suis bien.
Je finis par trouver l'adresse, je cogne, et la raison de ma visite dans ce quartier typique de la ville me répond. Une vielle connaissance, vieille pour un gars de 18 ans, c'est-à-dire que ça fait quelques mois qu'on ne s'est pas vu.
Je savais déjà qu'elle était belle. Mais quand je dis belle, c'est un euphémisme. Elle est magnifique, resplendisssante, charmante, rayonnante, que je devrais dire. Et aujourd'hui, elle est l'incarnation absolue de tous ces compliments.
J'entre dans son petit chez elle, elle m'offre à boire, et on discute, de tout et de rien, comme ça, sans trop penser à l'heure. Simplement.
Elle est très simplement vétue, elle n'est pas maquillé ni même particulièrement coiffée. Elle est à son naturel, tout simplement. Et je ne l'ai jamais vu aussi belle.
À l'habitude, elle a un look plus rafiné. Coiffure travaillée, visage maquillé, vêtements minutieusement sélectionnés. Et bien sûr, tout ce travail lui confère un look utopique selon les critères de beauté modernes.
Mais sa simplicité du moment la rend encore plus jolie, encore plus charmante. Elle est assise sur un fauteuil, ses pieds nus traînent sur le tapis, dans son petit chez elle par un bel après-midi d'automne, elle me parle. Et moi, je relaxe, et je profite des joies de la conversation, sans arrière pensées face à la charmante jeune femme devant moi. Je profites de la vie, du calme, de la situation. Et de mon instinct, qui me fait sentir flottant et léger parce qu'une jeune femme trop belle est devant moi, mon instinct qui me faire sentir juste bien, en ce moment présent.
Que je peux t'aimer parfois maudit instinct. Ce que je peux t'aimer quand tu me simplifies la vie.
Une série d'évènements, plus ou moins banale, plus ou moins extraordinaire, et je me retrouve, un après-midi d'automne, dans une petite rue à Montréal. C'est un bel automne, vraiment, il y a des feuilles rouges et jaunes partout dans la rue, et il y a cette odeur automniale, fraîche, vivante. Je suis bien.
Je finis par trouver l'adresse, je cogne, et la raison de ma visite dans ce quartier typique de la ville me répond. Une vielle connaissance, vieille pour un gars de 18 ans, c'est-à-dire que ça fait quelques mois qu'on ne s'est pas vu.
Je savais déjà qu'elle était belle. Mais quand je dis belle, c'est un euphémisme. Elle est magnifique, resplendisssante, charmante, rayonnante, que je devrais dire. Et aujourd'hui, elle est l'incarnation absolue de tous ces compliments.
J'entre dans son petit chez elle, elle m'offre à boire, et on discute, de tout et de rien, comme ça, sans trop penser à l'heure. Simplement.
Elle est très simplement vétue, elle n'est pas maquillé ni même particulièrement coiffée. Elle est à son naturel, tout simplement. Et je ne l'ai jamais vu aussi belle.
À l'habitude, elle a un look plus rafiné. Coiffure travaillée, visage maquillé, vêtements minutieusement sélectionnés. Et bien sûr, tout ce travail lui confère un look utopique selon les critères de beauté modernes.
Mais sa simplicité du moment la rend encore plus jolie, encore plus charmante. Elle est assise sur un fauteuil, ses pieds nus traînent sur le tapis, dans son petit chez elle par un bel après-midi d'automne, elle me parle. Et moi, je relaxe, et je profite des joies de la conversation, sans arrière pensées face à la charmante jeune femme devant moi. Je profites de la vie, du calme, de la situation. Et de mon instinct, qui me fait sentir flottant et léger parce qu'une jeune femme trop belle est devant moi, mon instinct qui me faire sentir juste bien, en ce moment présent.
Que je peux t'aimer parfois maudit instinct. Ce que je peux t'aimer quand tu me simplifies la vie.
Un billet signé Nicolas
2 manifestation(s):
Moi, je pense que tu as simplement touché au bonheur par un après-midi d'automne. Et que tu as su en profiter.
ce sont ces moments simples et heureux qui font que nous nous sentons bien. endorphine ou pas, je crois que des moments comme ceux là doivent être vécus et revécus. la mémoire est une chose merveilleuse pour des cas comme ça. une simple rencontre peut être vue et embellie des millier de fois.
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