Échecs, apparences, intégrité, pis plein d'autres affaires de même
Un homme, fictif bien sûr. Appellons le Nicolas. Au hazard, tsé, c'est fictif... Donc un homme, Nicolas, et supposons que Nicolas est heureux de ce qu'il est, mais pas de ce qu'il a. Mettons.
Nicolas, qui étudie au Cégep, mais ce n'est pas moi, vous voyez... Et bien, ce Nicolas, que je ne connais pas parce qu'il n'existe pas, est heureux de ce qu'il est mais est malheureux de ce qu'il a.
Nicolas se dit intègre à lui-même. Il se définit comme un être ouvert, qui pense librement, qui réfléchit sur divers aspects de sa vie, qui est toujours à l'affut de l'information et avide de nouvelles choses. Il ne veut pas être autrement; la seule chose sur laquelle il ne veut pas changer est son ouverture qui le force à changer sur tout le reste. Et pour lui, une autre définition de lui-même serait un recul.
Notre Nicolas, il aime bien exprimer ses idées à travers un art. L'écriture. Mettons. Et il aime ça, écrire, ça lui permet de dévellopper des idées - ses idées. Ça lui permet de se sentir en vie par moment, de se voir lui-même comme il est. Comme quelqu'un qui se questionne et qui est ouvert.
Et posons l'hypothèse - pas nécessairement vraie - que personne ne le voit comme il est. Notre homme serait vu comme un être fermé, incapable de s'exprimer oralement, avec des idées molles ou peu réfléchies. On le perçoit comme un marginal, mais sans plus. C'est un freak aux yeux de tous.
Et Nicolas, à travers son questionnemment et ses observations, s'en est rendu compte. Et il a même attribué ses échecs de relations interpersonnelles et amoureuses à son apparence. À cette impression fausse qu'il dégage. Nicolas en est malheureux. Pas toujours, mais ça le dérange, et il vit mal avec ça.
Et bien, ce personnage, je crois que je le comprendrais. Mais je ne saurais pas quoi lui dire.
Nicolas, qui étudie au Cégep, mais ce n'est pas moi, vous voyez... Et bien, ce Nicolas, que je ne connais pas parce qu'il n'existe pas, est heureux de ce qu'il est mais est malheureux de ce qu'il a.
Nicolas se dit intègre à lui-même. Il se définit comme un être ouvert, qui pense librement, qui réfléchit sur divers aspects de sa vie, qui est toujours à l'affut de l'information et avide de nouvelles choses. Il ne veut pas être autrement; la seule chose sur laquelle il ne veut pas changer est son ouverture qui le force à changer sur tout le reste. Et pour lui, une autre définition de lui-même serait un recul.
Notre Nicolas, il aime bien exprimer ses idées à travers un art. L'écriture. Mettons. Et il aime ça, écrire, ça lui permet de dévellopper des idées - ses idées. Ça lui permet de se sentir en vie par moment, de se voir lui-même comme il est. Comme quelqu'un qui se questionne et qui est ouvert.
Et posons l'hypothèse - pas nécessairement vraie - que personne ne le voit comme il est. Notre homme serait vu comme un être fermé, incapable de s'exprimer oralement, avec des idées molles ou peu réfléchies. On le perçoit comme un marginal, mais sans plus. C'est un freak aux yeux de tous.
Et Nicolas, à travers son questionnemment et ses observations, s'en est rendu compte. Et il a même attribué ses échecs de relations interpersonnelles et amoureuses à son apparence. À cette impression fausse qu'il dégage. Nicolas en est malheureux. Pas toujours, mais ça le dérange, et il vit mal avec ça.
Et bien, ce personnage, je crois que je le comprendrais. Mais je ne saurais pas quoi lui dire.
Un billet signé Nicolas
4 manifestation(s):
La perception qu'on a des autres, est toujours fausse... on regarde avec nos yeux, nos illusions, nos préjugés, notre personnalité, nos background. On ne voit jamais ce qui est vraiment.
Il faut alors se résoudre à comprendre que personne ne nous verra jamais tel qu'on est.Ou tel qu'on pense qu'on est.
La Souris
Insère un autre personnage a ton histoire, Myriam. Mettons, parce que Myriam c'est aussi un nom de meme, rien de plus banal. Eh bien Myriam ne connait pas vraiment Nicolas, et probablement que Myriam ne connaitra jamais parfaitement Nicolas. Mais ils pourraient essayer. Non? Juste me même, c'est ça que je me disais.
Oui, je ne le connais pas trop, mais je crois que Nicolas serait enchanté de découvrir Myriam.
Qu'est-ce qui est bien avec ton Nicolas fictif, c'est qu'il a encore du coeur. Alors quand un certain hippi appelé françois et une crêpe fonderont un parti politique pour le rétablissement du genre humain et que ce dit parti sera élu, ben ça va faire un humain de moins à rétablir. Ouais pis je sais pas si tu avais remarqué, mais tu as choisi un nom fictif qui est pareil comme ton nom à toi. Qu'est-ce qui est bien avec les dindes paladines, c qu'elles ont la capacité d'être connes.
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