Apprendre le bonheur
Le bonheur ne s'achète pas. Il ne se gagne pas, il ne s'acquière pas. Il s’apprend.
Tranquillement, j’apprends à être heureux.
Je découvre, un peu plus à chaque jour, les gens autour de moi, les artistes de mon pays, les visions plus ou moins semblables de la vie de mes compères. J’écoute, je lis, je regarde, et au bout du compte j’en sors toujours un peu plus grand.
J’expérimente. Je saute sur les occasions qui s’offrent à moi, j’essaie tout ce qui passe entre mes doigts. Je me plante, trop souvent, mais j’essaie toujours. Je fais plus de plongeons que je tire de conclusions, je fais plus d’expérimentation que de constats. Les constats sont stables, fixes. Plates. Je préfère encore me planter.
Je m’exprime. J’écris quand je me plante, j’écris quand je ne me plante pas, j’écris même quand je ne fais rien. Je parle, j’offre mes opinions à qui veut bien les entendre, à qui veut bien m’écouter et découvrir ma vision propre.
Et finalement, le soir, quand j’ai découvert, quand j’ai expérimenté, quand je me suis exprimé, que j’ai sorti mon impression pour que d’autres découvrent et expérimentent, je me couche.
Je me dis que je n’ai pas avancé. Ou presque pas. Et je me dis qu’avec une goutte de sagesse de plus, demain, tout sera à refaire, tout sera à recommencer. Et je me dis que c’est pour le mieux.
Tranquillement, j’apprends à être heureux.
Tranquillement, j’apprends à être heureux.
Je découvre, un peu plus à chaque jour, les gens autour de moi, les artistes de mon pays, les visions plus ou moins semblables de la vie de mes compères. J’écoute, je lis, je regarde, et au bout du compte j’en sors toujours un peu plus grand.
J’expérimente. Je saute sur les occasions qui s’offrent à moi, j’essaie tout ce qui passe entre mes doigts. Je me plante, trop souvent, mais j’essaie toujours. Je fais plus de plongeons que je tire de conclusions, je fais plus d’expérimentation que de constats. Les constats sont stables, fixes. Plates. Je préfère encore me planter.
Je m’exprime. J’écris quand je me plante, j’écris quand je ne me plante pas, j’écris même quand je ne fais rien. Je parle, j’offre mes opinions à qui veut bien les entendre, à qui veut bien m’écouter et découvrir ma vision propre.
Et finalement, le soir, quand j’ai découvert, quand j’ai expérimenté, quand je me suis exprimé, que j’ai sorti mon impression pour que d’autres découvrent et expérimentent, je me couche.
Je me dis que je n’ai pas avancé. Ou presque pas. Et je me dis qu’avec une goutte de sagesse de plus, demain, tout sera à refaire, tout sera à recommencer. Et je me dis que c’est pour le mieux.
Tranquillement, j’apprends à être heureux.
Un billet signé Nicolas
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