Questions
Je n'ai pas de confident. Je n'ai jamais eu de confident. Ce que sulfure a écrit à ce sujet rejoint une partie de mes interrogations.
D'habitude, enfin je crois, devenir le confident, ou se confier, ça vient naturellement. Pour moi ça ne vient jamais naturellement. Parler de moi, de ce que je pense de ma propre vie, me fait peur. Ça me fait peur d'emmerder mon interlocuteur et de me faire juger.
Et il y a de ces questions, ces questions qu'on pourrait me poser, envers lesquelles, je le sais, je m'ouvrirais. Ces questions qui, posées, signifieraient un intérêt chez mon interlocuteur de savoir ce que je pense, ces questions qui, posées, m'enleverait une des deux craintes.
Qu'est-ce que je pense du charme, en général?
Du charme féminin?
De mon charme?
Quels sont mes objectifs non professionnels?
Pourquoi suis-je si sombre. voir cynique, parfois?
Quelles sont mes angoisses les plus profondes face à l'avenir?
Qu'est-ce que j'ai fait de ma soirée, tout seul, à boire de la St-Ambroise et à réfléchir sur mon être.
Pourquoi j'ai si peur des silences? Du vide?
Comment sont arrivés mes échecs?
Qu'est-ce que j'ai fait, réellement, pour les éviter?
Mes victoires, elles sont où?
Pourquoi je n'arrive pas à me confier?
Bon assez de même. Je remarque une tendance. Ce sont des questions personnelles. Ça ne se fait pas, poser ces questions là sans raison.
Et ça ne se fait pas, y répondre sans qu'elles soient posées.
Je n'ai pas de confident. Je n'ai jamais eu de confident. J'en ai aucune idée au fond.
D'habitude, enfin je crois, devenir le confident, ou se confier, ça vient naturellement. Pour moi ça ne vient jamais naturellement. Parler de moi, de ce que je pense de ma propre vie, me fait peur. Ça me fait peur d'emmerder mon interlocuteur et de me faire juger.
Et il y a de ces questions, ces questions qu'on pourrait me poser, envers lesquelles, je le sais, je m'ouvrirais. Ces questions qui, posées, signifieraient un intérêt chez mon interlocuteur de savoir ce que je pense, ces questions qui, posées, m'enleverait une des deux craintes.
Qu'est-ce que je pense du charme, en général?
Du charme féminin?
De mon charme?
Quels sont mes objectifs non professionnels?
Pourquoi suis-je si sombre. voir cynique, parfois?
Quelles sont mes angoisses les plus profondes face à l'avenir?
Qu'est-ce que j'ai fait de ma soirée, tout seul, à boire de la St-Ambroise et à réfléchir sur mon être.
Pourquoi j'ai si peur des silences? Du vide?
Comment sont arrivés mes échecs?
Qu'est-ce que j'ai fait, réellement, pour les éviter?
Mes victoires, elles sont où?
Pourquoi je n'arrive pas à me confier?
Bon assez de même. Je remarque une tendance. Ce sont des questions personnelles. Ça ne se fait pas, poser ces questions là sans raison.
Et ça ne se fait pas, y répondre sans qu'elles soient posées.
Je n'ai pas de confident. Je n'ai jamais eu de confident. J'en ai aucune idée au fond.
Un billet signé Nicolas
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