Les X
Depuis quelques années, les hommes des X (la génération perdue), produisent tout plein d'oeuvres artistiques sur la place de l'homme. L'homme dans la société, dans le couple, dans sa tête, un peu, au fond.
J'aime bien ce sujet de réflexion. Il n'est pas encore épuisé, selon moi. Et bien qu'on dise que c'est une crise passagère depuis la libération de la femme, que c'est générationnel, je crois que le problème s'étend un peu plus loin.
Les gars, on est où? Et là je ne chercher pas à situer l'homme par rapport à la femme dans la société, ou l'Homme, mais bien chaque homme. Individuellement, on se retrouve où?
Ma génération ne semble pas se poser ces questions. Peut-être parce qu'ils (nous) sont des fils de boomers, et que les boomers n'ont jamais été perdu et qu'ils suivent leur éducation.
Individuellement, j'ai l'impression d'être surchargé d'idées préconçues.
"Le bonheur, c'est d'aimer son travail."
"Il n'y a rien d'aussi épanouissant que l'amour."
"L'homme n'a plus besoin du format du couple traditionnel pour être heureux."
"L'homme québécois moderne sera un homme rouge. Comme un homme rose, mais fort. Le rouge, c'est la passion."
De mes amis, quand j'exprime mes peurs face au futur, mais hypothèses improbables mais plausible d'un Nicolas qui a 30 ans et qui est malheureux, on me dit pessimiste. Et c'est tout.
"Ça va bien aller."
Ça je ne suis plus capable de l'entendre. Pas plus que le découragement ou l'appitoiement d'ailleurs. Ce que je veux, c'est une vraie remise en question, pas un débat, une communication sans censure, libre, à la recherche d'une réponse.
On le sait maintenant, l'homme, collectivement, apportera à la société autant que la femme. Il étudiera, travaillera, fera des enfants.
L'homme, individuellement, en ce moment, n'étudie pas très loin, change souvent de profession, se plante relativement trop souvent en amour et n'y voit plus aucun sens.
Ce que j'aime bien des X, c'est qu'ils abordent le problème de face. Ma génération, elle, se barricade dans des illusions temporaire. Et ils le font tous. Et parfois, comme maintenant, j'ai l'impression que je n'ai pas ma place dans cette cohorte.
J'aime bien ce sujet de réflexion. Il n'est pas encore épuisé, selon moi. Et bien qu'on dise que c'est une crise passagère depuis la libération de la femme, que c'est générationnel, je crois que le problème s'étend un peu plus loin.
Les gars, on est où? Et là je ne chercher pas à situer l'homme par rapport à la femme dans la société, ou l'Homme, mais bien chaque homme. Individuellement, on se retrouve où?
Ma génération ne semble pas se poser ces questions. Peut-être parce qu'ils (nous) sont des fils de boomers, et que les boomers n'ont jamais été perdu et qu'ils suivent leur éducation.
Individuellement, j'ai l'impression d'être surchargé d'idées préconçues.
"Le bonheur, c'est d'aimer son travail."
"Il n'y a rien d'aussi épanouissant que l'amour."
"L'homme n'a plus besoin du format du couple traditionnel pour être heureux."
"L'homme québécois moderne sera un homme rouge. Comme un homme rose, mais fort. Le rouge, c'est la passion."
De mes amis, quand j'exprime mes peurs face au futur, mais hypothèses improbables mais plausible d'un Nicolas qui a 30 ans et qui est malheureux, on me dit pessimiste. Et c'est tout.
"Ça va bien aller."
Ça je ne suis plus capable de l'entendre. Pas plus que le découragement ou l'appitoiement d'ailleurs. Ce que je veux, c'est une vraie remise en question, pas un débat, une communication sans censure, libre, à la recherche d'une réponse.
On le sait maintenant, l'homme, collectivement, apportera à la société autant que la femme. Il étudiera, travaillera, fera des enfants.
L'homme, individuellement, en ce moment, n'étudie pas très loin, change souvent de profession, se plante relativement trop souvent en amour et n'y voit plus aucun sens.
Ce que j'aime bien des X, c'est qu'ils abordent le problème de face. Ma génération, elle, se barricade dans des illusions temporaire. Et ils le font tous. Et parfois, comme maintenant, j'ai l'impression que je n'ai pas ma place dans cette cohorte.
Un billet signé Nicolas
1 manifestation(s):
«parce qu'au fond le vrai plaisir, c'est de pas savoir comment qu'a va finir, ta ptite histoire»
On peut pas regarder vers le futur, on pense trop comme des cowboys, alors on regarde derrière, vers Brokeback mountain.
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