Laissez-moi vous raconter l'histoire de l'ange qui m'as tué.
Laissez-moi vous raconter l'histoire de l'ange qui m'as tué.
Aujourd'hui, j'ai été tué.
On dit "Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir". Il n'y a plus d'espoir. Il n'y a plus de vie. Je suis mort.
Une fille. Un ange. Et des souvenirs, seulement que des souvenirs.
Les souvenirs tournent dans ma tête. J'essaie de les suivre, j'essaie de les rattraper. Et ma tête tourne. Je vais les regretter, ces souvenirs.Et jes sais qu'un jour, je vais les regretter encore plus que l'ange qui les a créé.
Imperceptiblement, les souvenirs s'effacent. C'est comme quand on s'éloigne d'une maison en voiture. On n'arrive pas à remarquer que la maison diminue. Mais on le sait. Et parfois, on se retourne, et on se dit que la maison est devenue petite. Jusqu'à ce que l'on ne la voit plus.
Pourtant, l'ange est disparu tout d'un coup. Elle s'est volatilisé, d'un simple "non". Un non cru. Un non définitif, un non brusque, non-négociable. Le genre de non qui tue l'espoir.
Et je suis mort. Plus d'espoir, plus de repères. Je n'ai plus d'âme. Je ne suis qu'un numéro d'assurance sociale dans la marrée québécoise, dont l'ambition est d'augmenter sa consommation. Je n'ai plus de repères, je ne sais sais même plus pourquoi j'écris ceci. Je suis mort.
Aujourd'hui, j'ai été tué.
On dit "Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir". Il n'y a plus d'espoir. Il n'y a plus de vie. Je suis mort.
Une fille. Un ange. Et des souvenirs, seulement que des souvenirs.
Les souvenirs tournent dans ma tête. J'essaie de les suivre, j'essaie de les rattraper. Et ma tête tourne. Je vais les regretter, ces souvenirs.Et jes sais qu'un jour, je vais les regretter encore plus que l'ange qui les a créé.
Imperceptiblement, les souvenirs s'effacent. C'est comme quand on s'éloigne d'une maison en voiture. On n'arrive pas à remarquer que la maison diminue. Mais on le sait. Et parfois, on se retourne, et on se dit que la maison est devenue petite. Jusqu'à ce que l'on ne la voit plus.
Pourtant, l'ange est disparu tout d'un coup. Elle s'est volatilisé, d'un simple "non". Un non cru. Un non définitif, un non brusque, non-négociable. Le genre de non qui tue l'espoir.
Et je suis mort. Plus d'espoir, plus de repères. Je n'ai plus d'âme. Je ne suis qu'un numéro d'assurance sociale dans la marrée québécoise, dont l'ambition est d'augmenter sa consommation. Je n'ai plus de repères, je ne sais sais même plus pourquoi j'écris ceci. Je suis mort.
Un billet signé Nicolas
2 manifestation(s):
En lisant tes archives, ce soir, je suis tombée amoureuse. J'ai espéré que tu étais le jeune emballeur de l'épicerie que je fréquente et que la prochaine fois, je te trouverais. Tu écris très bien. Je suis charmée. Bonne chance pour réparer ton coeur...
quel joli message, Julie....
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